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Rapport 2025 sur les risques globaux du World Economic Forum

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La Nina rises in the Pacific, causing climate change

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La Nina surgit dans le Pacifique, provoquant des bouleversements climatiques

En général, La Niña tend à se développer lors des hivers plus froids et plus humides dans certaines zones, comme le nord des États-Unis. Dans d'autres régions, comme l'Australie, elle.

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Quand l’agriculture Agricultures vietnamienne s’exporte en Angola

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L’accaparement des terres n’est pas un problème purement africain. Partout dans le monde, les surfaces arables sont progressivement et discrètement acquises par des grands groupes qui opèrent dans le domaine.

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Les effets de la pénurie d’eau s’aggravent au Moyen-Orient et en Afrique du Nord alors que les projections indiquent une demande croissante pour le prochain quart de siècle. Selon les.

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Le réchauffement climatique met en péril les réserves d’eau.  La gestion mutualisée et équitable de cette ressource garantit la production de denrées dans les zones les plus pauvres. Houssine, producteur.

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La Californie se désertifie

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Le laboratoire SICLEX, simule les climats

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La Niña rugit, menaçant la planète d’incendies, de sécheresse et d’inondations

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Syngenta investit $ 2 milliards dans l’agriculture durable

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Le verdissement de la planète

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Le réchauffement climatique ne pénaliserait pas la production agricole

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Le Niger perd chaque année 100 000 hectares de terres cultivables

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Assurément, les changements climatiques, à venir et déjà amorcés, inquiètent. Rares sont maintenant ceux qui les remettent en cause et qui nient que la production agricole soit impactée. Mais s’agit-il.

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Comment faire face aux vents mauvais qui soufflent sur l’agriculture ?

[inbound_button font_size="14" color="#8d0100" text_color="#ffffff" icon="file-o" url="https://dev.willagri.com/wp-content/uploads/2019/02/Dossier-Willagri-fevrier-vents-mauvais-agriculture.pdf" width="" target="_blank"]Télécharger le dossier en PDF[/inbound_button]     La première mission de l’agriculture est de nourrir le monde. Les progrès accomplis depuis la seconde.

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La gestion forestière face au défi du changement climatique

[inbound_button font_size="14" color="#8d0100" text_color="#ffffff" icon="file-o" url="https://dev.willagri.com/wp-content/uploads/2019/01/Dossier-Willagri-Janvier-2019-Gestion-Forestiere-2.pdf" width="" target="_blank"]Télécharger le dossier en PDF[/inbound_button]

 

 

Les forêts ont un rôle majeur à jouer dans la réponse au changement climatique. L’accord de Paris en a souligné l’importance. Mais cela suppose un changement profond dans notre rapport à la nature. Le défi est d’autant plus considérable que la forêt, atout potentiel pour capturer le carbone, peut se trouver elle-même fragilisée par le réchauffement.

Les forêts offrent une réponse précieuse au changement climatique : elles constituent des « puits de carbone » permettant de neutraliser une partie des gaz à effet de serre.

En théorie, la technologie permettrait elle aussi, à terme, de séquestrer le carbone sous d’autres formes. Certains s’en prévalent pour relativiser la menace climatique. Mais cette deuxième voie reste théorique et controversée. Elle est donc encore hypothétique.
La solution naturelle offerte par les arbres et la biomasse est, quant à elle, bien tangible. Comme l’Accord de Paris, les objectifs des Nations-Unies pour le développement durable réservent une grande place au couvert forestier.

Le premier pas dans cette direction consiste à arrêter la déforestation. Elle n’est, hélas, pas complètement endiguée. Mais l’extension parfois spectaculaire des forêts dans certains pays montre qu’il est possible d’inverser le cours des choses. Dans les pays développés, après un défrichement agricole souvent massif au fil des siècles, la forêt reprend ses droits. En France, la part de la superficie occupée par les forêts a plus que doublé depuis la Révolution (14% de l’hexagone en 1798, 29% aujourd’hui). Le cas le plus spectaculaire est celui de l’État du Vermont aux Etats-Unis : de 15% lors de l’indépendance américaine, les forêts sont passées à 85% du territoire de ce petit État.

Dans le monde en développement, le défrichement à finalité agricole a été entamé plus tardivement et il n’est pas illogique qu’il se termine plus tard. La déforestation globale a commencé à ralentir et l’on doit œuvrer à son arrêt, un préalable pour envisager une séquestration efficace du carbone par les forêts…

Néanmoins, arrêter la déforestation ne suffira pas. Des conditions strictes sont à réunir pour parvenir à une contribution forte des forêts à la lutte contre le changement climatique. Parmi elles, la protection des forêts contre les effets du réchauffement. Le débat ne fait que commencer. Un ensemble d’études récentes permet de commencer à y voir clair.

Comment la forêt capture le carbone

Pour appréhender la contribution de la forêt à la lutte contre le changement climatique, partons du cycle du bois. Les arbres, en poussant, absorbent du carbone : la photosynthèse nécessaire à leur croissance consiste à digérer le dioxyde de carbone (CO2), en séparant le carbone (C) de l’oxygène (O). Le premier est absorbé par l’arbre (feuilles, bois, racines) et le second rejeté dans l’atmosphère, laquelle se trouve ainsi « purifiée » d’une partie de son gaz carbonique[1]. C’est la séquestration.

Toutefois, si l’arbre est ensuite brûlé, l’opération inverse se produit : à travers la combustion, le carbone contenu dans le bois s’associe de nouveau à l’oxygène. Du CO2 est alors rejeté dans l’atmosphère, annulant la séquestration opérée précédemment dans les troncs et les branches[2].

Concrètement, si la forêt recule (déforestation par brûlis, coupes suivies de combustion, incendies…), des émissions nettes de carbone, parfois massives, se produisent.

Si la forêt ne recule pas, ces émissions sont évitées. Le bilan du cycle « pousse puis combustion du bois » est alors équilibré. Il n’aggrave pas la présence de carbone dans l’atmosphère. Mais il ne la réduit pas non plus[3].

Comment peut-on « aller plus loin » avec les forêts, c’est-à-dire obtenir une réduction globale de la quantité de carbone présente dans l’atmosphère ?

Pour y répondre, il convient d’envisager deux hypothèses bien différentes, qui constituent deux réponses « forestières » distinctes au changement climatique.

1/ La première solution consiste à augmenter la quantité de bois présent sur terre sans être brûlé.

Tel sera le cas si la surface occupée par les forêts (et éventuellement la densité de celles-ci), au lieu de se réduire, augmente. Cet accroissement constituera une séquestration de carbone, mesurable au bois nouveau constitué.

Si, ensuite, une partie de ce bois nouveau est coupée sans être brûlée, la séquestration acquise sera préservée. D’où l’intérêt des constructions en bois et de la fabrication de meubles ou objets durables en bois : ces usages, dits « stockages » prolongent la séquestration réalisée grâce à la pousse du bois dans la nature. Le carbone reste emprisonné dans ces biens ou objets aussi longtemps qu’ils ne sont pas brûlés. C’est la première solution, celle d’une séquestration durable, d’un véritable puits de carbone.

2/ La combustion du bois peut cependant elle aussi, sous certaines conditions très strictes, s’intégrer dans un processus intéressant pour le climat. C’est la deuxième hypothèse.

Le climat sera gagnant si le bois brûlé vient en substitution de combustions plus nocives. Tel est le cas s’il remplace l’utilisation de carburants fossiles. Cette dernière entraîne en effet à coup sûr une augmentation des émissions. Elle ne comporte aucune espèce de contrepartie : les fossiles brûlés (pétrole, gaz, charbon, lignite…) dégagent du CO2 et des gaz à effet de serre et ils n’en retirent pas de l’atmosphère[4].

Il en va différemment de la combustion du bois puisque celle-ci intervient au terme d’une séquestration de carbone Elle peut donc s’intégrer dans un cycle équilibré : il convient pour cela de faire en sorte que la production de nouveau bois intervienne parallèlement à la combustion. Ceci est parfaitement possible puisque la forêt… pousse. Du fait de la croissance des arbres et de leurs branches, elle peut subir des prélèvements compatibles avec sa préservation. C’est ainsi qu’a progressivement été forgée la notion de rendement soutenu. La certification des forêts permet aujourd’hui de s’assurer que les prélèvements sont raisonnables[5].

Si cette condition est respectée, la combustion du bois s’inscrit dans une opération blanche. Le bois devient alors, comme d’autres formes de biomasse (arbustes, foin, voire biocarburants), une énergie renouvelable au bilan carbone équilibré, bilan qui « fait la différence » avec les énergies fossiles, émettrices nettes.

Toutefois, pas plus que l’arrêt de la déforestation, le parallélisme entre consommation et production de bois n’est acquis d’avance. C’est tout l’enjeu de la gestion forestière, qui doit se transformer si l’on veut lutter efficacement contre le changement climatique.

Le cas particulier du bois matériau (bois utilisé en remplacement de matériaux dont la production implique des émissions de gaz à effet de serre)

L’usage du bois comme matériau de construction (menuiserie, charpente, voire panneaux de particules) présente un intérêt particulier lorsqu’elle vient en remplacement de matériau ayant un impact différent sur l’environnement. Elle peut combiner un stockage de carbone durable (lors de la pousse du bois) et un effet de substitution ultérieur, lors de son utilisation. Celle-ci évite en effet les émissions liées à la production de matériaux tels que le ciment, les métaux ou les plastiques. Elle suppose toutefois un changement dans les comportements des consommateurs et utilisateurs, ainsi qu’une industrie dynamique dans l’aval de la filière bois.

 Evaluation des surfaces forestières terrestres par la FAO : 31,6% des terres émergées en 1990, 30,6% en 2015 (avec ralentissement des pertes les dernières années)

Les menaces liées à la déforestation tropicale

Les tentations liées à la « mise en valeur » rapide de terres conquises sur la forêt tropicale demeurent préoccupantes. Les ONG dénoncent notamment les défrichements destinés à permettre l’implantation de culture de rente (huile de palme, soja, cacao…) ou d’élevages extensifs de bétail, en lieu et place de la forêt tropicale.

La réalisation de grandes infrastructures en forêt est un autre danger : de telles infrastructures aboutissent non seulement à entamer l’espace forestier (autoroutes par exemple) mais aussi à créer un appel d’air pour l’exploitation des ressources du sol et du sous-sol.

A l’inverse, les réserves et territoires alloués aux populations indigènes autochtones sont souvent considérées comme l’une des meilleures protections contre la déforestation. Toute remise en cause du statut de ces espaces est donc, potentiellement, une menace.

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AGRICULTURE CLIMATO-INTELLIGENTE, AGROECOLOGIE ET CARBONE DU SOL

L’adaptation au changement climatique et son atténuation comptent parmi les principaux défis que doit relever l’agriculture. Au Sud, ces défis s’associent à un impératif de sécurité alimentaire. L’arrivée du changement.

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Forêts : l’institutionnalisation légale de la certification FSC au Gabon

Le président du Gabon, Ali Bongo, a annoncé le 26 septembre, à l’occasion d’une visite à une usine de transformation de bois du Groupe Rougier, que l’ensemble des concessions forestières.

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Certifications contre déforestation

[inbound_button font_size="14" color="#8d0100" text_color="#ffffff" icon="file-o" url="https://dev.willagri.com/wp-content/uploads/2018/02/Dossier-Certification-Deforestation-Willagri.pdf" width="" target="_blank"]Télécharger le PDF[/inbound_button]   Alain Karsenty1  et Fred Pearce2 d'après Elias Awad3   Pays producteurs et leurs sociétés civiles, Union européenne, compagnies forestières,.

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Étude d'impact environnemental et social (EIES) des projets agricoles en Afrique subsaharienne

[inbound_button font_size="14" color="#8d0100" text_color="#ffffff" icon="file-o" url="https://dev.willagri.com/wp-content/uploads/2017/08/Agriculture-subsaharienne.pdf" width="" target="_blank"]Télécharger le PDF[/inbound_button]

L’agriculture subsaharienne dans son contexte traditionnel

L’agriculture paysanne traditionnelle en Afrique subsaharienne est généralement une agriculture de nature extensive, basée sur le défrichement et le brûlage des formations végétales naturelles existantes : forêts, savanes1. La fertilité des sols forestiers, à laquelle s’ajoute l’amendement apporté par les cendres des brûlis, bénéficie à peu de frais aux cultures nouvellement installées.

Le travail du sol se fait typiquement à la main, ‘avec la daba’2 et le paysan, le plus souvent pauvre, ne peut acheter ni engrais manufacturés, ni pesticides : il ajoute au sol, dans le meilleur des cas, de l’engrais vert issu des amas végétaux du désherbage, ou il bénéficie des déjections laissées par les animaux domestiques qui vaquent dans les champs en vaine pâture. Les types d’exploitation agricole traditionnels s’appuient donc sur des systèmes de rotations sur jachères longues retournant parfois à la forêt, peu consommateurs d’intrants et sans résidus. S’ils sont peu productifs, ils sont « 100% bio » et génèrent, en majorité des déchets biodégradables. Ils ne présentent pas - sinon de façon marginale - d’impacts négatifs significatifs sur l’environnement.

 

Répondre au développement démographique, économique et aux défis de la mondialisation

Cependant, si de tels systèmes peuvent perdurer dans des contextes de faibles densités démographiques et d’espaces vacants disponibles - comme cela pouvait se rencontrer fréquemment avant la colonisation dans un continent sous-peuplé - ils ne sont plus viables aujourd’hui, dans un contexte de forte expansion démographique, induisant la raréfaction des terres et la dégradation et disparition des écosystèmes naturels, comme on peut l’observer à présent dans nombre de pays d’Afrique3.

De plus, de tels systèmes, fortement consommateurs d’espace, ne sont plus tenables face à la nécessité de conserver les forêts considérées aujourd’hui comme des puits de carbone dans le cadre des enjeux planétaires de la lutte contre le réchauffement climatique. A cet égard, le Bassin du Congo – 3e massif forestier mondial en étendue4 - est devenu une cible d’intérêt stratégique spécifique sous haute surveillance, notamment de la part des ONGs internationales et des scientifiques5.

Par conséquent, les systèmes agraires traditionnels doivent nécessairement devenir plus productifs pour nourrir plus de populations, plus intensifs pour consommer moins de terres, plus rentables pour dégager plus de revenus, en résumé plus performants pour permettre au continent africain de sortir de pauvreté endémique.

Mais l’agriculture intensive génère des impacts sur l’environnement

L’intensification de la production agricole nécessite l’emploi de matériels végétaux adaptés (semences sélectionnées, améliorées), l’usage d’engrais (verts et de synthèse) et de pesticides (via la lutte biologique et les produits chimiques), la mécanisation du travail des sols (préparation, sarclages, épandages, récoltes), le conditionnement et le stockage des denrées (séchage, décorticage, stockage…), leur valorisation sur place (agro-industries de 1ère, 2ème, 3ème transformation)…, tout cela dans un environnement aménagé, c’est-à-dire doté des infrastructures nécessaires pour l’apport de fournitures et services (artisans, commerces, banques…) et pour la commercialisation des produits (routes, marchés, ports…).

 

1 Avec des exceptions notables, parmi lesquelles on trouve des systèmes agraires traditionnels intensifs, comme par exemple : la culture de l’oignon  en pays Dogon au Mali, la culture du mil sur terrasses en pays Kapsiki au Cameroun, la culture du riz sur estran à mangrove en pays Balante en Guinée-Bissau, la culture du bananier sur collines en pays Hutu au Burundi…
2 A la houe.
3 On trouve encore de grandes zones inoccupées susceptibles d’exploitation par l’agriculture, soit des zones de forêts denses comme dans le bassin du Congo, soit des zones de savanes encore infestées par la mouche tsé-tsé, comme dans certains pays d’Afrique australe (Mozambique, Zimbabwe…).
4 Après l’Amazonie et la Sibérie.
5 Cf. un récent article du Monde du 24/07/17 : « Forêts du Congo : des scientifiques dénoncent à leur tour le projet de l’Agence française de développement ».

 

Biographie Patrice Mauranges

M. Mauranges, géographe et ingénieur forestier, est un environnementaliste expérimenté en matière de projets concernant le développement rural, de développement durable, le changement climatique... Depuis 35 ans, il a effectué plus de 50 missions sur ces sujets dans une trentaine de pays d’Afrique.

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